Dans les ateliers Carat-Duchatelet à Bressoux, on prépare des voitures destinées à des riches clients d'Afrique, d'Asie ou du Moyen Orient. Les limousines sont complétement déshabillées avant de subir différents traitements sur mesure : allongement des châssis, équipements de confort et de sécurité : vitrage à l'épreuve des balles, blindage, aménagements luxueux de l'habitacle...
Les affaires vont bien. Depuis sa reprise en mai 2014, l'entreprise est dans une phase accélérée de redéploiement.Ce mardi, le ministre fédéral de la mobilité François Bellot était en visite dans l'entreprise.
Il s'est notamment intéressé à cette ligne de production liée à la rénovation de véhicules anciens de prestige, une diversification lancée au lendemain de la reprise par l'homme d'affaire Jean-Paul Rosette pour assurer la pérennité de l'activité…
Pour assurer sa croissance, Carat-Duchatelet a prévu d'investir une quinzaine de millions d'euros ces 4 prochaines années : actuellement, une vingtaine de voitures passent chaque année dans les ateliers. L'objectif est d'atteindre 40 voitures