Comment bien éduquer son chiot dès son arrivée
Jazz, un adorable Spitz de 5 mois, apprend les règles de sa nouvelle maison avec Ariane. Découvrez des conseils pratiques pour bien démarrer avec votre chiot.
Depuis quelques jours, un nouveau membre a rejoint la famille : Jazz, un adorable Spitz de cinq mois. Déjà très complice avec Ariane, sa nouvelle maîtresse, ce petit chien promet de beaux moments partagés. Mais pour construire une relation saine et équilibrée, il est important d'adopter dès le départ les bons réflexes.
Voici trois astuces clés pour bien débuter l’éducation de votre chiot.
Instaurer des règles claires dès l’arrivée
L’un des principes fondamentaux à respecter est la cohérence. Dès les premiers jours, il est essentiel de fixer des règles et de s’y tenir. Attendre que le chiot grandisse rendra l’apprentissage plus difficile. Par exemple, si l’accès au canapé est interdit, cette règle doit s’appliquer en toutes circonstances. Lorsque Jazz tente de s’y installer discrètement pendant qu’Ariane a le dos tourné, la réaction à adopter est simple : lui faire comprendre que ce comportement n’est pas autorisé, en le faisant descendre immédiatement. Il s’agit d’ôter la récompense recherchée (le confort du canapé), sans agressivité, mais avec constance.
Récompenser le calme face aux stimulations
L’arrivée d’un visiteur, un bruit soudain ou un événement inattendu sont autant de situations qui peuvent provoquer des aboiements chez un chiot. Pour anticiper ces réactions, Ariane a été prévenue d’une arrivée imminente, ce qui lui permet de se munir de friandises et de se préparer à renforcer les bons comportements. Lorsqu’une stimulation se présente — comme l’ouverture de la porte — et que le chiot reste calme, ce comportement doit être immédiatement récompensé. Ce renforcement positif valorise le calme et aide le chiot à adopter cette attitude à l’avenir.
Désensibiliser aux bruits et encourager le silence
Autre technique de prévention : la désensibilisation. En diffusant une vidéo contenant différents sons — notamment des aboiements d’autres chiens —, on expose progressivement le chiot à ces stimuli. L’objectif est de briser le réflexe d’aboyer en réponse. Si l’envie de répondre est forte au début, une exposition répétée, associée à un renforcement du silence, permet peu à peu de modifier ce comportement.
Bonus : stimuler son chiot avec des mots-clés
Enfin, de nombreux propriétaires se demandent à partir de quand il est possible d’apprendre des mots-clés à leur chien. La réponse est simple : quelques jours après l’arrivée du chiot, on peut déjà commencer, à condition d’adapter les exercices à son âge. Au-delà du jeu, cet apprentissage stimule la dépense mentale du chiot, ce qui contribue à le fatiguer et à renforcer la complicité avec son humain. L’essentiel est d’y aller progressivement, en privilégiant des mots simples et des situations ludiques.