Le tribunal correctionnel de Liège rendra son jugement le 16 janvier prochain dans le dossier d'un professeur de tennis liégeois poursuivi pour avoir violé son ex-compagne. Le prévenu risque une peine de 40 mois de prison pour avoir aussi menacé et harcelé la victime. Mais il s'était défendu en soutenant que la victime l'avait dénoncé injustement parce qu'il avait eu une faiblesse lors d'un rapport sexuel consenti. Initialement annoncé ce mercredi, le jugement relatif au dossier de ce Liégeois de 39 ans a été reporté au 16 janvier prochain. L'homme est suspecté d'avoir violé son ex-compagne, avec laquelle il venait de rompre. Le couple avait vécu une relation passionnelle néfaste. La dame avait décidé de rompre. Le prévenu avait tenté de renouer avec elle. En octobre 2009, après avoir tenté de la convaincre, il avait commis un viol sur la victime. L'ex-compagne avait décrit tous les éléments de la scène de viol agrémentée de coups. Mais le prévenu s'était défendu en exposant que la victime avait entretenu un rapport consenti. Il avait expliqué qu'il avait été victime d'une faiblesse passagère et que la victime s'était alors énervée face à son impuissance. C'est de cette manière qu'il expliquait lui avoir porté des coups pour se défendre. Le parquet avait requis une peine de 40 mois de prison. La défense avait plaidé l'acquittement sur base de la légitime défense. Le jugement sera prononcé le 16 janvier
